Au cours de ma carrière passée de gendarme, j’ai souvent entendu les victimes de cambriolages parler en utilisant ce terme particulièrement fort de « viol ». En effet, votre chez vous représente un cocon hermétique où seul peut entrer celui qui y est invité. Les victimes, femmes ou hommes, éprouvaient depuis un légitime sentiment d’insécurité dans leur foyer alors qu’il devait constituer un lieu de refuge. Certains ont dû quitter leur logement le temps de « digérer » cette épreuve, signe que cela laisse des traces, parfois indélébiles. 

Un accident de la route est un moment de sidération, d’incompréhension. Il est fréquent que les accidentés se voient mourir sur l’instant et finalement s’en sortent physiquement indemnes, ou presque. Je précise physiquement car moralement ces accidents laissent des traces profondément ancrées. Le corps ne saigne pas mais la tête a pris un coup et le choc a laissé des traces qui reviennent souvent sous forme de flash-backs ou de cauchemars. Ces événements ont une incidence sur le quotidien des victimes, de jour comme de nuit. Une agression physique, lorsqu’elle est aussi inattendue qu’injustifiée, crée un trouble dans l’inconscient de la victime et un sentiment d’insécurité peut conduire jusqu’à l’agoraphobie.

Ces situations, je ne les ai pas inventées, je les ai toutes connues au cours de ma carrière. Les victimes peuvent taire leurs ressentis en ressentant une forme de retenue à se définir comme victimes. En effet, elles présentent des blessures invisibles car elles ne saignent pas mais sont pourtant bien présentes.

L’entourage voit un changement de personnalité, d’humeur. Cela peut même amener à des ruptures au sein des couples. Ces traumatismes peuvent se révéler particulièrement handicapants, bloquants. Les méthodes d’accompagnement comme la pleine conscience ou l’EFT sont des outils particulièrement adaptés pour surmonter ces épreuves en un faible nombre de séances.

Au cours de ma carrière passée de gendarme, j’ai souvent entendu les victimes de cambriolages parler en utilisant ce terme particulièrement fort de « viol ». En effet, votre chez vous représente un cocon hermétique où seul peut entrer celui qui y est invité. Les victimes, femmes ou hommes, éprouvaient depuis un légitime sentiment d’insécurité dans leur foyer alors qu’il devait constituer un lieu de refuge. Certains ont dû quitter leur logement le temps de « digérer » cette épreuve, signe que cela laisse des traces, parfois indélébiles. 

Un accident de la route est un moment de sidération, d’incompréhension. Il est fréquent que les accidentés se voient mourir sur l’instant et finalement s’en sortent physiquement indemnes, ou presque. Je précise physiquement car moralement ces accidents laissent des traces profondément ancrées. Le corps ne saigne pas mais la tête a pris un coup et le choc a laissé des traces qui reviennent souvent sous forme de flash-backs ou de cauchemars. Ces événements ont une incidence sur le quotidien des victimes, de jour comme de nuit. Une agression physique, lorsqu’elle est aussi inattendue qu’injustifiée, crée un trouble dans l’inconscient de la victime et un sentiment d’insécurité peut conduire jusqu’à l’agoraphobie.

Ces situations, je ne les ai pas inventées, je les ai toutes connues au cours de ma carrière. Les victimes peuvent taire leurs ressentis en ressentant une forme de retenue à se définir comme victimes. En effet, elles présentent des blessures invisibles car elles ne saignent pas mais sont pourtant bien présentes.

L’entourage voit un changement de personnalité, d’humeur. Cela peut même amener à des ruptures au sein des couples. Ces traumatismes peuvent se révéler particulièrement handicapants, bloquants. Les méthodes d’accompagnement comme la pleine conscience ou l’EFT sont des outils particulièrement adaptés pour surmonter ces épreuves en un faible nombre de séances.